Les trois poèmes présentés ici souffrent d'une maladie de longueur, d'où leur titre.
Le premier s'emberlificote dans de la philosophie de bas de gamme, le second s'éternise sur un jeu de rimes redondantes.
Le troisième est probablement totalement incompréhensible, sauf pour celui qui aurait lu le livre de Roubaud relatif à l'alexandrin (je n'ai pas les références sous la main).N'en corrigez pas l'ortografe, j'y ai mis une certaine coqueterie.