Les "fautes" d'orthographes qui empoisonnent la vie de tant de gens diminueraient énormément si des règles satisfaisantes s'appliquaient au nombres de consonnes, dont l'absurdité est la cause de 80% des "fautes" non grammaticales.
Diverses solutions sont possibles. La routine appliquée
ici en propose une si simple et automatique qu'un programme rudimentaire peut
l'appliquer, en se payant le luxe de sauvegarder "ville", "mille"
et "elle" en exceptions du fait de leur omniprésence.
La lecture reste aisée, même pour un oeil habitué depuis l'enfance à une
autre graphie.
Les suppliciés de l'absurdité de l'orthographie française trouveraient un soulagement important si on appliquait ce module officiellement.
1. que "tranquille" devient "tranquile" sur le modèle de "tranquilité";
2. que le son "èle" s'écrit "èle" ou "aile", et "ète" s'écrit "ète" ou "aite", car cet algorithme traite des consonnes et ne s'occupe pas des fantaisies des voyelles.
3. que les "m" devant "b" et "p" redeviennent "n".
4. que les "h" superfétatoires disparaissent, "ph" devenant "f" et "th" devenant "t".
5. mais qu'hélas le programme ne peut faire la différence
sans votre aide entre "ch" de cheval et les ridicules "ch"
grecquisants de, par exemple, "psychologue".